[Renaissance Kingdoms] Village de Vyu en Sallaz
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{:-:} Forum de Role-Play ·ï¡÷¡ï· Céans le village et la demeure des Marcossey, famille historique du village de Vyu en Sallaz, sur les terres du Faucigny, Duché de Savoie. À toi, nouvel arrivant : pour accéder au château, passe les Portes du village !
 
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 Dimanche 31 janvier 1458

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Ellisal de Marcossey
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MessageSujet: Dimanche 31 janvier 1458   Dimanche 31 janvier 1458 Icon_minitimeDim 31 Jan 2010 - 20:17

Citation :
Ambroise_perrigny est élu maire de Annecy


Ambroise_perrigny a été élu maire de Annecy. Il recueille la majorité des suffrages exprimés.

1. Ambroise_perrigny : 100%


Dernière édition par Ellisal de Marcossey le Sam 6 Fév 2010 - 18:35, édité 1 fois
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MessageSujet: Le port de Luxeuil enfin terminé, level two   Dimanche 31 janvier 1458 Icon_minitimeDim 31 Jan 2010 - 21:09

Citation :
Le port de Luxeuil enfin terminé, level two


LUXEUIL (AAP) - Situé sur les rives de la Moselle qui prend sa source à son lac, le port de Luxeuil ouvert à l'initiative du Franc-comte Shenkj qui confia tout d'abord à son Commissaire aux Mines 'Derdekan' d'Argenteuil, Baron de Clairvaux-les-lacs, la mission de le développer, puis au maire de la ville, Monseigneur 'Sacrai' d'Eirbal, Vicomte de St-Loup-sur-Semouse et Baron de St-Sauveur, le 24 novembre, date à laquelle commencèrent réellement les travaux d'aménagement - nous ne nous avancerons pas sur les raisons ni les conditions de la passation de pouvoir, chaque Luxovien l'imagine fort bien. Seul port de Franche-Comté, ouvrant le pays vers le Nord, les subventions furent conséquentes de la part du Parlement : quelques 7600 écus dépensés pour sa construction ; ainsi qu'une armée de 200 ouvriers, 30 charpentiers et 30 forgerons.

En ce jeudi 28 janvier de l'an de grâce 1458, les Franc-comtois peuvent désormais rejoindre le Rhin en suivant la Moselle jusqu'à Mayence, capitale de la principauté du même nom (Fürstentum Mainz). Ensuite le fleuve rhénan conduit jusqu'au Comté de Hollande (Graafschap Holland). Le port n'est pas très grand, le maire lui-même nous a laissé entendre que nous étions « [Vous êtes] dans un petit port de pêche. C'est sympa, bucolique, mais le ponton ne permet l'amarrage que de quatre bateaux simultanément. » [message disponible ig sur l'interface du port]. Mais il n'y a pour le moment aucun bateau à quai et aucune offre de vente sur le marché naval. Désormais une voie de communication maritime relie les trois grandes langues qui composent un Empire plus ou moins divisé géographiquement parlant.

Pons d'Agoult pour l'AAP.

Sources : le maire lui-même, plus l'image pour le plaisir des yeux (http://www.lesroyaumes.com/images/bateau/Vport2.1.png).
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MessageSujet: Démenti du Lyonnais-Dauphiné suite à l'entretien de son Altesse Armoria de Mortain   Dimanche 31 janvier 1458 Icon_minitimeDim 31 Jan 2010 - 21:16

Citation :
Démenti du Lyonnais-Dauphiné suite à l'entretien de son Altesse Armoria de Mortain.


LYON (AAP) - Suite à l'entrevue accordée à l'AAP par son Altesse Armoria de Mortain au sujet de la Provence, un besoin de rétablir l'exactitude de certains propos tenus durant cet échange s'est fait sentir au sein des autorités du Lyonnais-Dauphiné voisin.

Pour mémoire, voici ce que répondait Son Altesse Armoria de Mortain lorsque le rédacteur de l'AAP la questionnait sur l'implication du Roy dans la campagne provençale :
Citation :
Si Sa Majesté n'avait pris la peine de prévenir son cousin, et s'il n'avait clairement stipulé qu'un silence de sa part vaudrait accord, sans nul doute. Si les provinces du sud du Royaume n'avaient eu à se plaindre du comportement de la Provence, et n'avaient fait demande d'assistance au Roy - le devoir d'un suzerain - pareillement. Si Sa Sainteté le Pape ne s'était prononcé quant à la rupture de l'Ordre Établi, itou. Mais nous savons que notre démarche s'appuie sur ces trois points essentiels, et forts.

Une implication des "provinces du sud" qui a poussé le Gouverneur Lyonnais, sa Grâce Pénélope de Barsac (dicte Penelopedefrance) en personne, à s'accorder un droit de réponse pour cette mise en cause dans la justification du conflit provençal.

Un droit de réponse sollicité auprès de l'AAP sous la forme de l'annonce suivante :

Citation :
A tout ceux qui ouïront, liront ou se feront lire :

Nous, Pénélope de Barsac, Gouverneur du Lyonnais Dauphiné, Dame de Mirmande et de Neuville sur Saône, conseillée et appuyée par notre Conseil, faisons savoir que nous sommes de plus en plus étonnée d'entendre, à plusieurs reprises et maintenant dans le cadre d'un entretien donné à l'AAP, Son Altesse Royale Armoria de Mortain évoquer des plaintes en provenance de ce qu'elle nomme les « Provinces du Sud ».
En tant que province de cette région du Royaume, le Lyonnais Dauphiné n'a jamais émis la moindre plainte à l'endroit de son voisin provençal. Ce dernier n'ayant jamais manifesté quelconque signe d'hostilité à notre égard, nous n'avons donc jamais requis ni même laisser entendre que nous désirions l'appui de Sa Très Aristotélicienne Majesté le Roy dans quelque domaine que se soit.

Ne pouvant parler pour nos voisins du sud, nous apprécierions néanmoins de ne pas être utilisés comme justificatif à une opération militaire en terre Provençale.

De plus, si le soucis de Son Altesse était de mener une intervention en vue de stabiliser le Sud du Royaume, la moindre des choses serait de nous inclure dans les projets allant dans ce sens, nous considérant encore comme une force stabilisatrice dans la région.

Nous ne saurions également que trop lui conseiller de jeter un œil sur le Languedoc, fidèle parmi les fidèles du Roy, qui connaît actuellement des troubles extrêmement graves et déstabilisants, où le félon Rylas a refusé d'abandonner son pouvoir et a menacé d'ensanglanter le Comté qu'il clame pourtant défendre.

Faict au castel de Pierre-Scize à Lyon, le vingt-sixième jour du mois de janvier de l'an de grâce mil quatre cent cinquante-huit.

Pénélope de Barsac, Dame de Mirmande et de Neuville sur Saône. Gouverneur du Lyonnais Dauphiné.


Rappelons simplement qu'un courrier du Connétable de France adressé aux autorités Dauphinoises leur demandant un droit de passage pour ses armées sur les routes Lyonnaises et daté du 3 janvier dernier avait accouché d'un refus le jour même.
Un premier refus du Gouverneur du LD motivé par le fait que les armées en question sortaient tout juste de Genève sous couvert d'armées croisées qui ne justifiait nullement une descente vers le Sud.
Après trois jours de négociations, lesdites armées avaient finalement été requalifiées officiellement par Armoria d'Armées Royales, débouchant ainsi sur le consentement du Gouverneur Lyonnais à leur livrer le passage sous cette nouvelle couverture.


Erasme, pour l'AAP

Sources :
- "Entrevue avec Son Altesse Armoria de Mortain sur la Provence", AAP.
- Entretien avec le Capitaine Lyonnais Phelim.
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MessageSujet: Armagnac et Comminges - Rétrospective 1457   Dimanche 31 janvier 1458 Icon_minitimeDim 31 Jan 2010 - 21:31

Citation :
Armagnac et Comminges - Rétrospective 1457


AUCH (AAP) - On croyait le tout jeune Comté d'Armagnac parti trop vite dès sa première année, accumulant les premières pages de l'AAP, quel que soit le domaine étudié : militaire, politique, économique, religieux ou même social. On attribuait cela à l'euphorie des premiers jours du Comté soutenue par l'opposition culturelle des premiers citoyens arrivés des quatre coins du Royaume.
On s'attendait à un second anniversaire plus calme et serein. Il n'en a rien été. L'année 1457 aura été, sinon plus, au moins aussi riche en évènements heureux comme parfois dramatiques.

Nous avions fini l'année 1456 sur un sentiment inquiétant de n'avoir guère vu avancé ce Comté depuis ses 8 mois d'histoire. La Caserne Comtale fumait encore après un incendie survenu début décembre et sur lequel aucune lumière n'a vraiment été faite. Un incendie qui avait ravivé l'éternel conflit entre militaires de formation et Conseil Comtal sur la place exacte de la caserne dans l'échiquier politique.
Dans le même temps, les mines Comtales subissaient effondrement sur effondrement durant les fêtes de la Noël. Effondrements justifiés officiellement par un jeu de malchance insolente. Mais, le peuple ne semblait pas dupe. Sans pouvoir en cerner l'importance exacte, il se doutait bien que ces dommages relevaient d'avantage de l'instabilité politique générée par l'incessant jeu de chaises musicales orchestré par le Comte Kadfael alors en exercice.

C'est sur ce même rythme qu'a débuté l'année 1457. Les postes comtaux changeaient de locataire, sans qu'aucun n'ait vraiment le temps de s'acclimater à des fonctions qui demandent pour certaines un minimum de temps avant d'être, sinon constructif, au moins à la hauteur.

La reconnaissance en janvier de Clemence.Cheroy, fille du premier Comte armagnacais, comme nouvelle Comtesse sembla calmer quelque peu les esprits qui s'échauffaient comme de tradition dans les salles officielles de la Capitale. Que nenni. Bien que ce nouveau mandat ait apporté des avancées non négligeables, tant dans le domaine de la Justice avec une réécriture partielle des textes, que dans le domaine de la Chancellerie, cheval de bataille de la Comtesse, rien n'aura été fait par ailleurs.

Un total désintérêt qui aura même été la cause d'un mal toujours perceptible aujourd'hui :
- alors que les bâtisseurs du corps militaire armagnacais de la première heure, renforcés par l'arrivée du Baron Nkhan, ancien militaire Normand, avaient sorti de terre une nouvelle Caserne,
- alors que cette Caserne avait été volontairement bâtie hors de l'enceinte du Castel d'Auch afin de prévenir toute nouvelle mésaventure, l'incendie semblant pointer du doigt le connétable de l'époque,
- alors que cette nouvelle structure semblait contenter tout le monde, avec une hiérarchie interne et apolitique concentrée sur le recrutement et la formation des soldats, fournissant un bras armé aux ordres du Comte,
- alors que la Caserne reprenait vie avec un élan faisant vite oublier l'incendie, la nouvelle Comtesse déclara cette caserne illégale et en ordonna la dissolution.
Une décision justifiée publiquement par la crainte de voir la Caserne devenir une force politique qui fit place à une scission entre les soldats fidèles à leurs supérieurs et formateurs et les soldats fidèle à la Comtesse, partis rejoindre la Caserne restaurée au Castel d'Auch.
La FADAC était née, fraction fidèle au pouvoir Comtal retournée sur les cendres de la première Caserne.

Un conflit politico-militaire, heureusement limité à de violentes joutes verbales, qui s'étalera au-delà des deux mois de mandat de Clemence.cheroy et qui monopolisera l'attention de tout le comté, éclipsant tout le reste.

Les beaux jours arrivant, quoi de mieux qu'un conflit pour en chasser un autre? Rien semble-t-il puisque c'est l'apparition d'un nouveau parti politique qui relèguera l'épineux problème de la Caserne au second plan. En effet, suite à son échec aux Comtales de Mars, Lechiffonier créa le jour même l'APPAC, un parti qui se voulait être l'opposition à un Conseil Comtal qui n'avait pourtant encore ni Comte, ni postes attribués. S'en suivirent de longs mois de descente aux enfers par l'entremise d'échanges musclés et globalement improductifs levés par les membres de ce nouveau parti, dont certains étaient pourtant au Conseil Comtal, relevant ainsi l'ambiguïté de l'APPAC : parti d'opposition à lui-même.

Pourtant, ce mandat restera l'un des plus constructifs de l'histoire du Comté. Le premier durant lequel les acteurs économiques et politiques, Conseillers comme maires, travailleront sans relâche au Conseil Économique afin de corriger une situation économique déjà alarmante symbolisée par un trou record dans les caisses comtales. Trou résultant d'erreurs successives de gestion minière et commerciale.
En effet, avec un budget fortement négatif, le patrimoine comtal de départ fortement érodé, une suspicion pesante sur l'ancien binôme bailli-CaC quant à une création illicite de monnaie, la situation devint préoccupante.
Les échanges accoucheront même de mesures concrètes chiffrées et acceptées de tous dans un Conseil Économique qui prendra enfin toute sa valeur durant un mandat à peine perturbé par la régence du Baron Tokagero suite à une indisponibilité du Comte Antoine.leroy.

La crise militaire semblera même partiellement réglée, la FADAC étant transférée dans la Caserne rebâtie en décembre, redonnant ainsi la possibilité aux cadres historiques de l'armée armagnacaise de redonner vie à un corps militaire bien amoché par des mois de conflit interne.
Une nouvelle charte militaire étant rédigée afin de clarifier et de légaliser le rôle et le pouvoir de chacun dans cette seule et unique Caserne.
Une renaissance de l'armée qui sera baptisée par la reprise de Saint-Bertrand de Comminges, ville devenue franche sour l'impulsion de son Maire, Lucas de Minestrol, cherchant une prise sur laquelle reposer ses exigences vis à vis du Comté.

La situation semblait donc s'améliorer en Armagnac à l'aube du mois de mai et l'arrivée des jours chauds. Mais, une fois encore, ces quelques éclaircies n'étaient que l'arbre vert qui cache une forêt dévastée. En effet, la reprise de Saint Bertrand aura laissé sur son chemin nombre de miliciens démembrés par l'armée comtale, preuve d'une tension entre Prévôté et Capitaine ainsi que d'une défiance des citoyens vis à vis de leurs dirigeants. Dans le même temps, la guerre politique déclarée entre l'APPAC et le reste du paysage politique se propageait au Conseil Économique, jetant du même coup aux oubliettes tout le travail effectué jusque là.
Enfin, les refondateurs de la Caserne se retiraient un à un, fatigués de ces luttes de pouvoir desquelles ils se pensaient et se voulaient pourtant protégés, préférant l'exil vers des terres plus sereines et laissant derrière eux une caserne désertée par des soldats tout aussi fatigués de ces éternels conflits plus improductifs les uns que les autres.


Été 1457, le comté est plus que jamais déchiré, l'économie est au plus bas, l'armée réduite à quelques irréductibles encore vaillants mais livrés à eux-même.

Des avancées se font toujours malgré tout. Preuve en est la création de l'Entente Pyrénéenne regroupant le Comté du Béarn, le Comté d'Armagnac et de Comminges et le Comté de Toulouse.
Une entente axée sur une politique commune dans les domaines de la Justice, l'Armée, l'Économie et l'Université.
Une entente qui se veut un gage de stabilité dans un Sud-Ouest soumis à d'incessants troubles depuis sa conquêtes par les troupes de Sa Majesté Lévan III de Normandie.
Une entente qui se verra ponctuée par quelques actions concrètes, comme l'aide financière, notamment minière, accordée à Toulouse après son pillage mais qui trouvera cependant vite ses limites.


Novembre 1457, le Béarn est envahi par les troupes du Lion de Judas. Bien que les premiers assauts soient repoussés, sans que ses nouveaux alliés n'interviennent, lenteurs décisionnelles en cause, la capitale béarnaise finira par tomber peu après.
Pendant ce temps, une armée Béarnaise hantait les routes armagnacaises, suscitant une tension palpable sur sa route avec les autorités armagnacaises.
Tensions qui s'étalèrent sur la durée, la légendaire apathie politique de l'Armagnac et l'impuissance tant décisionnelle que fonctionnelle de l'armée armagnacaise refaisant surface, bien aidée par des décisions jugées après coup souvent farfelues et inadaptées prises à la va-vite par un Conseil Comtal souvent jugé en mal de sérénité et d'expérience.

Sur le plan politique, l'APPAC avait disparu, dispersé dans les autres listes, comme un retour en arrière.
Seul le GAN, parti historique de l'Armagnac, demeurait indéfectible et toujours soutenu par le peuple, regroupant régulièrement entre 40 et 50% des votes aux élections Comtales.
Une régularité contrastant inlassablement avec ses difficultés à faire reconnaitre l'un des leurs à la tête du Comté, preuve des éternelles tensions politiques accouchant sur de multiples tours avant de parvenir à un compromis bancal sur celui qui dirigera le Comté durant deux mois.

Le Conseil Comtal, regroupant pourtant toujours les mêmes noms, semblait même découvrir la situation critique du Comté : des caisses vides, un stock fragile bâti sur des gestions successives contradictoires et un budget toujours négatif.
Au pied d'un mur pourtant annoncé 6 mois auparavant, le temps étant à l'alliance sacrée : le Conseil Comtal élu début novembre a pour une fois vite mis de côté ses éternels différents pour tenter d'enrailler la chute avant qu'il ne soit définitivement trop tard.
Un mandat d'entente cordiale, sous l'égide du Comte DavidGradir, qui aura porté ses fruits puisque les caisses auront fini par refranchir la barre fatidique du zéro écus en caisse, s'assurant même d'un budget positif, une première depuis plus d'un an.

Malgré tout, les réserves restent de mise, cette remontée ayant laissé des traces :
- une mine ayant été fermée, portant à deux leur nombre, pour 3 encore ouvertes.
- le stock comtal a fondu comme neige au soleil, ne laissant dorénavant aucune marge de manœuvre.
- une mine a encore perdu un niveau, situation aggravée par une réserve de minerai de secours très faible suite à une politique d'exportation de celui-ci nécessaire à la remontée des finances et du budget.
- un impôt comtal maintenu à son niveau le plus haut, doublé en moins de 6 mois et qui permet seul une balance positive des finances comtales.


A l'heure du bilan de l'année 1457, on restera donc sur une lente mais inexorable descente en enfers du Comté, sur presque tous les fronts. Mais une descente qui aura déclenché, par le niveau critique atteint en automne, une réaction d'orgueil des Institutions.
Un mal pour un bien donc puisque cette réaction se sera concrétisée par un travail solidaire de l'ensemble des acteurs politico-économiques lui-même concrétisé par un redressement de la situation économique de l'Armagnac.

Une situation qui reste pour autant précaire, puisqu'à peine le nouveau Conseil Comtal élu, les querelles repartent déjà de plus belle, révélant une entente pas si cordiale que cela.
Une situation d'autant plus inquiétante que ce Conseil ne compte qu'une seule nouvelle tête, les autres ayant tous enquillé plusieurs mandats déjà et ce depuis les débuts du Comté.
Une preuve s'il en fallait que l'Armagnac se cherche toujours une identité, toujours en lutte avec les différentes cultures issues de sa création, étouffant du même coup la croissance d'une génération issue du vivier armagnacais.

Des conflits internes auxquels viennent s'ajouter des tensions externes, mettant à mal l'Entente Pyrénéenne et allant même jusqu'à abroger un traité signé avec l'Église Aristotélicienne sur la portée et les activités de la Garde Épiscopale sur les terres armagnacaises.
Une abrogation qui intervient alors que la Chancellerie Armagnacaise, quelque peu délaissée depuis quelques temps du propre aveu du Chancelier actuel tout juste reconduit, semble reprendre quelques couleurs et recruter de nouveaux diplomates.


1457 aura donc été une année à rebondissements au moins aussi riche que l'année précédente. Une année qui aura renforcée l'histoire d'un Comté tiraillé par sa difficulté à se trouver une identité propre.
Une éternelle remise en cause de toute son histoire qui en fait un Comté unique dans tout le Royaume et qui laisserait béat tout voyageur lassé par la quiétude de ses propres bases.
Preuve s'il en fallait de la fierté armagnacaise : beaucoup restent, beaucoup partent aussi, mais beaucoup reviennent inexorablement.

Gageons que l'année 1458 sera plus calme que la précédente, à l'image d'une sérénité semble-t-il retrouvée à la Caserne, bien loin des heurts dont le triste anniversaire sera respectueusement ignoré.
Une nouvelle année sous le signe de l'apaisement donc mais qu'on souhaite aussi riche que celle sur laquelle le rideau vient de se fermer, pour le plus grand bonheur des journalistes locaux de l'AAP qui souhaitent à chacun leurs meilleurs vœux.

Erasme, pour l'AAP
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MessageSujet: Nouvelles Primatiales   Dimanche 31 janvier 1458 Icon_minitimeDim 31 Jan 2010 - 21:33

Citation :
Nouvelles Primatiales

Rome (AAP) - Le Concile Episcopal du Saint Empire (CESE) est, conformément au Droit Canon, un Concile permanent, dont le rôle est de gouverner l'Eglise nationale de la primatie dite Primatie du Saint Empire. Il est composé de l'ensemble des archevêques et des évêques dont la juridiction touche totalement ou en partie les terres du Saint Empire. Ainsi que des Evêques in partibus et émérites du Saint Empire, de divers consultants, protonotaires apostoliques, recteurs d'ordre religieux reconnus et des grands maîtres d'ordre militaro-religieux reconnus. Les compétences de ce concile vont de la nomination des Évêques à la définition des orientations que doit prendre l'Eglise au sein de la Primatie.

Dans la journée du 23 Janvier de cette année, le Conseil Episcopal du Saint Empire s'est doté d'un nouveau secrétaire Primatial, en la personne de Monseigneur Tully de Nivellus. Celui-ci aura pour fonction d'aider l'équipe Primatiale à la rédaction des différents projets et écrits.

De plus, dans un souci de prise en compte du plurilinguisme inhérent au Conseil Episcopal du Saint Empire, celui ci a décidé d'user quotidiennement des langues Françoyses et Angloyses.

Enfin, en la journée du 27 Janvier, Monseigneur Arthur de Nivellus fût nommé Vice Primat francophone du CESE en remplacement de Nathanaël de la Biolle, dit 'Nufilen' révoqué le 12 Décembre.
La Vice Primat aura la charge de veiller au bon fonctionnement du CESE aux cotés du Primat Son Éminence Ecaterina de Sevillano Réaumont.

Richelieu1, pour l'AAP

Sources :
http://rome.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=18803
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MessageSujet: Alienor_de_proisy est élu maire de La Trémouille   Dimanche 31 janvier 1458 Icon_minitimeSam 6 Fév 2010 - 18:35

Citation :
Alienor_de_proisy est élu maire de La Trémouille


Alienor_de_proisy a été élu maire de La Trémouille. Elle recueille la majorité des suffrages exprimés.

1. Alienor_de_proisy : 57.8%
2. Zutalors : 42.2%
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