[Renaissance Kingdoms] Village de Vyu en Sallaz
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[Renaissance Kingdoms] Village de Vyu en Sallaz

{:-:} Forum de Role-Play ·ï¡÷¡ï· Céans le village et la demeure des Marcossey, famille historique du village de Vyu en Sallaz, sur les terres du Faucigny, Duché de Savoie. À toi, nouvel arrivant : pour accéder au château, passe les Portes du village !
 
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 Vendredi 15 janvier 1458

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2 participants
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Ellisal de Marcossey
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Ellisal de Marcossey


Messages : 904

Feuille de personnage
Localiation actuelle: Fribourg - Confédération Helvétique
Statut: Etudiant - Médecine
Age: 28 ans

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MessageSujet: Vendredi 15 janvier 1458   Vendredi 15 janvier 1458 Icon_minitimeDim 24 Jan 2010 - 15:31

Citation :
Rome (AAP)- Alors que la Croisade a eu un succès mitigé -quand d'autres diront qu'elle fut un échec cuisant-, que les différents acteurs de ce résultat se déchaînent en lettres ouvertes et autres récriminations, posons-nous la question du rôle de l'Église dans l'affaire.
En effet la Croisade, placée sous le patronage de l'Église, lancée par le Cardinale Camerlingue Tibère de Plantagenêt, dict Rehael, résidant en Provence, fut annoncée le XXVIII novembre dernier:

Citation :
A l'Universalité des fidèles,
Aux peuples français et béarnais,

Nous avons appris cette nuit la chute du château de Pau et la mise en place d'une pseudo-république hérétique en Béarn, sous l'égide de l'organisation hérétique nommée "Lion de Juda".
Ces vils brigands hérétiques furent vaincus une première fois par l'effort conjugué des vaillants défenseurs béarnais, aidés par les membres des Saintes Armées sur place qui réalisèrent un travail plus qu'exemplaire, mais force est de constater que l'appel de l'Église à la mobilisation unanime de toutes les provinces contre la menace n'a pas été écoutée. Alors que la vigilance du royaume baissait, les Lions, usant de traitrises, mensonges, et fourberies qui leur sont coutumes, se sont emparés des institutions comtales pour tenter d'instaurer désormais le règne du Sans-Nom et de réaliser pillages et brigandages.
L'Église Aristotélicienne réaffirme son plein soutien aux autorités légitimes du Béarn représentés par la Comtesse Azilize et le Conseil comtal, aux côtés desquels nous nous tenons pour organiser la mobilisation générale sur place afin de reprendre sans tarder le contrôle plein et entier du comté, ainsi qu'a la population très aristotélicienne du Béarn.
Nous assurons de la pleine mobilisation de l'Eglise Aristotélicienne et de toutes ses composantes afin d'assurer la chute de la pseudo-république hérétique.
Nous appelons enfin à la mobilisation complète de toutes les provinces du Royaume de France et de ses alliés afin que des renforts soient envoyés en Béarn pour bouter l'hérétique qui s'y trouve et éliminer définitivement cette menace.
Le temps des palabres et des tergiversations a vécu, le temps de la mobilisation de tous est arrivé.

Paix et bénédiction,
Tibère de Plantagenêt, dict Rehael,
Cardinal Camerlingue
Faict à Rome, le XXVIII novembre de l'an de grâce MCDLVII de notre Seigneur"

Ce texte officiel a été obtenu après un vote de tout les Cardinaux de la Curie et de fait, toute personne qui se déclarait croisé, était placé sous l'égide de cette institution ecclésiastique, basée à Rome. Or, il est évident que les Français qui ont traversé la Franche Comté étaient, des Croisés. Pour preuve, la déclaration qui suivit quelques jours plus tard, le XXX Novembre dernier:

Citation :
Nous, membres de la Pairie, de la Curia Regis, du Conseil du Domaine Royal,
Au Conseil légitime du Béarn,
Aux habitants du Béarn,
Aux croyants de France et d'ailleurs,
A la vile engeance n'ayant de cesse de vouloir que les créatures du Très-Haut perdent leur âme éternelle à les suivre dans les pires abominations, et qui justifient par des actes de brigandage leur hérésie,
Ce jour, nous allons prendre les armes afin que de défendre l'intégrité du Royaume de France, et son indéfectible aristotélicisme.
Ce jour, nous appelons tous les fidèles à suivre à nos côtés l'appel de notre Saincte Mère l'Eglise à la croisade contre le lion de juda, et contre la vile province qui les a envoyés en France en toute connaissance de cause et de façon on ne peut plus officielle.
Que les hérétiques craignent le courroux et les armes des fidèles, qui sauront leur prouver du tranchant de leur épée que Dieu toujours soutient les justes causes.
Que les fidèles du Royaume de France les boutent, les chassent, et les envoient enfin comparaître devant le Très-Haut.
Que le lion nous redoute, que ceux qui les ont envoyés nous redoutent.
Ce jour, nous appelons tout noble à prendre la croix et les armes aux côtés de l'Eglise afin de laver l'affront qui a été fait à leurs pairs béarnais.
Ce jourd'hui, nous partons en croisade : que Dieu nous aide, nous qui allons arborer Sa Saincte bannière !

Armoria de Mortain
LeGueux d'Alanha
Thomas de Clérel
Sebbe de Valrose
Marie Alice Alterac
Kilia de Chandos Penthièvre
Théobald d'Azayes
Alivianne D'Azayes
Anthémios de Deliancourt dict "Lekaiser", Connestable de France
El Cid, Duc d'Alençon
Gwenhwyvar uí Fergus, Surintendante des Finances
Lexhor d'Amahir, Duc d'Orléans
Maltea Wagner, Duchesse de Champagne
Keur de Thorigni, Duc de Normandie
Nebisa de Malemort,
Grand Chambellan de France
François d'Elbée, Gouverneur d'Orléans
Jef_lebeug
Comte du Maine
Althiof de Marigny,
Grand Prévost de France

Comme on peut le voir, de nombreux Grands du Royaume de France se mobilisent et cela laisse prévoir une forte mobilisation issue du Royaume.
Les troupes se massent donc en Bourgogne en vue de mettre le siège devant les capitales connues et reconnues -par elles même d'ailleurs- du Lion de Juda, à savoir Genève et Grandson.
Mais voilà, de la Bourgogne -lieu de rendez vous logique vu que la Duchesse y était,
SA Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, Cardinale en charge des Sainctes Armées et Connestable de Rome- tout semblait de bon augure, la légitimité assurée, bref à ce moment là l'Église est en totale harmonie avec les Croisés issus des différentes provinces du Royaume et on imagine pas de difficulté avant d'être devant la ville.
Après quelques tractations diplomatique, les Croisés obtiennent du Franc Comte, Debenja von Riddermark, Franc Comte, Comte de Viller Buzon, Vicomte de Marnay, un laisser passer -ambigu certes- mais qui autorise les Sainctes Armées à traverser ses terres:

Citation :
Nous, Debenja Von Riddermark, Franc Comte,

Suite aux actions en Béarn, qui amènent la déclaration de croisade,

Déplorons l'agression du Canton de Genève à l'encontre du Béarn et les moyens utilisés lors de cette action, déplorons les victimes faites entre les deux camps.

Condamnons fermement et sans aucune ambigüité cette hérésie scélérate et traitresse qu'est le Lion de Juda et nous nous engageons à les traquer sur notre territoire, sans répit ni pitié.

Condamnons le vol caractérisé des caisses de la Confédération Helvétique par des membres du Conseil Confédéral, même pour rembourser le Béarn, puisqu'aucune raison ne peut justifier un tel acte.

par la présente, nous édictons :
- que nous resterons neutre entre le Canton Souverain de Genève et les provinces de France.
- que nous n'accepterons pas le passage de troupes étrangères sur notre sol exceptés les Saintes Armées.
- que nous poursuivrons les hérétiques du Lion de Juda sur notre sol comtois.

Fait à Dole
Par le Franc Comte Debenja Von Riddermark
Le 21 décembre de l'an mil quatre cent cinquante sept

A la lecture de ceci, les naïfs Croisés auraient du se douter qu'il y avait anguille sous roche. Pour eux, l'évidence d'être considéré comme Sainctes Armées était manifeste -des bannières d'argent à la croix de gueule ayant été distribuée par la Cardinale Ingueburge von Ahlefeldt-Oldenbourg lors d'une messe solennelle entre Chalon et Dijon- et c'est en tant que tels qu'ils entrèrent sur le sol Franc Comtois.
Grand mal leur en prit! Visiblement, le Franc Comte avait tourné sa veste et sous la pression de son Parlement -c'est la que le sujet commence à devenir intéressant- composé notamment de plusieurs ecclésiastiques, dont le Primat du Saint Empire Romain, Son Eminence Ecaterina de Sevillano Réaumont, Cardinal-Evêque in partibus de Prusias ad Hypium.
Cette grande Dame était partisane, à Rome, de la Croisade et avait voté pour icelle.
Mais une fois revenue en Franche Comté, siégeant au Parlement, a-t-elle bien pesé de tout son poids, lorsque le Franc Comte, faisant voter son Parlement fit le discours, dont le témoignage écrit et conservé nous a été transmis:

Citation :
Franc-comtoises, Franc-comtois, voyageurs venus d'ailleurs, étrangers souhaitant guerroyer en terres helvètes, que toute personne, toute âme qui vive porte la voix qui va vous être portée, que nul ne puisse ignorer ce que je vais vous conter. Que tout homme, femme ou enfant puisse dire "Je le sais." Que nul ignore cette annonce et que tous la transmette par monts et par vaux !
Aujourd'hui, alors que nombreux sont ceux qui appellent à la guerre en Confédération Helvétique, alors que nombreux sont ceux qui veulent punir le Canton de Genève pour ses exactions armées en terres du Béarn et tandis que même l'Église Aristotélicienne en appelle aux armes pour cette agression, le Parlement de Franche Comté, Institution souveraine de la Franche Comté et seule entité apte à décider de l'avenir de notre Province, vient de prendre en urgence une décision qui doit être sue de tous.
A l'heure actuelle, le Parlement fini de voter pour ou contre l'autorisation de passage aux armées désignées comme Croisées mais non moins composée de guerriers français comme l'autorise le Concordat en vigueur actuellement signé par l'Église et par le Parlement de Franche Comté le 2 janvier 1455.

Article 3 alinéa 2 :
§2. L'Église ne pourra procéder à une intervention armée sur le territoire franc-comtois qu'avec l'accord du parlement franc-comtois. Dans le cas contraire, le parlement franc-comtois pourra considérer cette intervention comme une déclaration de guerre.

Étant donné que le Parlement de Franche Comté considère le fait de faire passer des armées composées de guerriers souhaitant porter l'épée en terres helvètes comme une intervention armée sur le sol franc-comtois.
Étant donné que le Parlement de Franche Comté souhaite rester neutre dans la guerre ouverte entre le Royaume de France et le Canton de Genève.
Étant donné que le Parlement de Franche Comté est seul et unique maître des terres franc-comtoises.
Étant donné que le Parlement de Franche Comté à le droit de refuser le passage des Saintes Armées si celles-ci souhaitent effectuer une intervention armée en terres franc-comtoises.
Le Parlement de Franche Comté vote, sachant qu'il ne reste qu'un parlementaire qui ne s'est pas exprimé, par 1 Pour, 15 Contre et 2 Abstention, le refus de laisser-passer aux Saintes-Armées ainsi qu'aux armées composées de français, présentes aux frontières franc-comtoises et ce, tant que notre Suzerain, le Saint Empereur LongJohnSilver, n'en décidera pas autrement.
De plus, il nous a été rapporté que plusieurs armées françaises ralliées aux armées saintes sont entrées sans autorisation en Franche Comté violant l'alinéa 2 de l'article 3 de notre Concordat avec l'Église Aristotélicienne. Ainsi, le Parlement de Franche Comté somme à toute armée étrangère frappée ou non de la croix aristotélicienne de sortir du territoire franc-comtois. Si cet appel n'est point suivi d'action, le Parlement de Franche Comté ordonnera la défense de son territoire par n'importe quel moyen que ce soit et contre toute armée n'ayant pas reçu l'autorisation de pénétrer les terres franc-comtoises.
Pour assurer la pérennité de la Franche Comté et que nos frontières restent inviolées, le Franc Comte, Sa Grandeur Debenja von Riddermark en appelle à la noblesse franc-comtoise pour défendre nos terres. Je lis :

Citation :
Nous, Debenja von Riddermark, XXXIe Franc Comte, Comte de Villers Buzon, Vicomte de Marnay,

En appelons à tous les nobles franc-comtois dans cette période trouble pour qu'ils honorent leur serment et servent la Franche Comté à sa défense alors que nous traversons des temps de grand danger pour notre territoire. Que tous les nobles franc-comtois se fassent recenser auprès de notre Capitaine.

Pour que la gloire armée de la Franche Comté fasse comprendre à tout un chacun qu'on ne peut impunément menacer la souveraineté de notre Empereur et de notre Franc Comte sur nos terres !

Faict à Dole le 23 décembre 1457
Pour le Parlement de Franche Comté.
Debenja von Riddermark
Franc Comte

Que ces annonces soient lues et sues par tous.
Pour notre Empereur,
Pour notre Franc Comte,
Pour la Franche Comté !
Par le Porte-Parole du Parlement de Franche Comté, Jontas de Valfrey, Comte de Beaufort
Pour le Parlement de Franche Comté
En ce jour du 23 décembre 1457

Il est évident à ce moment là qu'il y a eu une première défaillance de la part de l'Eglise qui n'a pas joué son rôle de protection envers les Croisés puisque la Franche Comté menace d'une guerre entre l'Empire et le Royaume de France.
Après une trêve signée à la hâte pour la nativité, le Camerlingue, Tibère de Plantagenêt, la dénonce, car elle n'avait pas été approuvée par lui -donnant là raison implicitement aux réclamations des Croisés français qui arguaient de leur bonne foi et dénonçait le revirement du Franc Comte- et permettant aux Croisés de mettre en place un siège, nous le verrons, devant Genève. Nous n'évoquerons pas là non plus la controverse qu'à suscité l'article du concordat cité (entre la Franche Comté et l'Eglise), car d'un coté on estimait que c'était une odieuse ingérence des Françoys et de l'autre qu'aucune intervention n'était prévue en Franche Comté et que l'article n'exigeait pas que les Sainctes Armées demandent l'autorisation au Parlement du Franc Comté.

Revenons en à nostre sujet, devant Genève, l'Avoyer d'icelle, se soumit rapidement provoquant l'incompréhension de ses administrés et le doute de sa sincérité chez les Croisés:

Citation :
Moi, Rgmax, Avoyère de Genève,

Vu les outrages répétés du "Lion de Juda" (menaces en Franche Comté, proclamation illégale de République en Béarn...), je somme cette organisation de cesser ses activités sur le sol de Genève et ailleurs et, invite vivement ses membres à renier leur appartenance à cette organisation. J'envisage ce jour un décret d'interdiction du Lion de Juda qu'il appartiendra au Conseil de discuter et de voter.

Les intérêts de la République Souveraine de Genève ne sont plus désormais compatibles avec l'existence sur son sol de cette organisation. De ce fait, je m'engage à tout faire pour faire cesser, pour le plus grand bien de Genève, les activités du "Lion de Juda".

Très vite, les Croisés, qui ont souffert des ralentissements imputables à la trêve imposée par le Haut Connestable Impérial et la Franche Comté, sentent qu'un siège de la ville n'est de toute manière plus faisable, les Genevois ayant -par complicités indicibles?- profité de ce temps pour se retrancher dans leur ville. Ils demandent alors des garanties à Rome que nous avons eu la chance de recueillir auprès d'un certain nombre d'entre eux:

-Le démantèlement des deux armées helvètes présentent dans la ville.
-L'installation d'une garnison de Templiers dans la ville le temps que la Curie juge que Genève ne risque pas de relaps -c'est-à-dire qu'une personne qui s'est rétractée au cours d'un précédent jugement continue à poursuivre dans son hérésie-
-La présence d'une armée Teutonique à Lausanne afin que les Croisés puissent rentrer chez eux en sécurité

Un ultimatum de deux jours était selon les Croisés indispensable.

La Curie, après un jour de négociation en urgence répondit non. Par la voix du Camerlingue, elle signifia aux Croisés Françoys qu'elle était satisfaite du résultat et que ces derniers pouvaient rentrer chez eux. Vif mécontentement de la part des Croisés qui écrivirent à la Curie (voir l'Article de GMD "Un nouveau tournant dans la Croisade!"). Mais surtout, et c'est cela qui nous fait penser qu'il y a eu une autre embrouille à Rome, c'est la démission surprise du Chevalier Izidore de Castelléo, Chevalier de l'Ordre Teutonique, Chevalier Sénateur de l'Office Militaire Romain:

Citation :
Nous, Izidore de Castelléo,
Ritter de l'Ordre Teutonique,
Chevalier-Sénateur de l'Office Militaire Romain, dict Office d'Isenduil
A l'ensemble des Chevaliers d'Isenduil et de son Conseil,
Aux membres de la Congrégation des Saintes Armées,
A la Sainte Curie,
A Sa Sainteté le Pape,
Au Cardinal Connétable, SE Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg,
A l'universalité des fidèles Aristotéliciens ;
En ce 2 Janvier de la nouvelle année 1458, je prends pour la dernière fois la plume en tant que Chevalier-Sénateur de l'Office Militaire Romain dict Office d'Isenduil.
Le Chevalier-Sénateur est le garant de l'institution qu'est la Congrégation des Saintes Armées. Il est élu par le Cardinal Connétable de Rome parmi les Chevaliers du Conseil d'Isenduil pour être son second.
Le Chevalier-Sénateur doit être droit, intègre, respecter le dogme, et toujours défendre les valeurs qu'il partage avec ses Frères et Soeurs membres de sa Congrégation.
Aujourd'hui, dans la situation actuelle, ceci n'est plus possible en occupant ce poste. Occuper ce poste de Chevalier-Sénateur revient au fait même de faire abstraction de tout ce que je me dois d'être.
C'est pourquoi je remet ma démission au Cardinal Connétable SE Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg à compter de ce jour.
J'ai agi, tenté de réveiller des consciences mais aujourd'hui n'étant plus en accord avec la Sainte Curie, n'étant pas et n'ayant jamais été hypocrite et du genre à faire des compromis, je ne commencerai pas aujourd'hui, surtout sur ce qui m'est de plus cher après la vie de ceux que j'aime.
Je tiens à souligner le fait que je n'ai à aucun moment prit part, comme cela aurait du être, dans les négociations avec le canton de Genève. Nous connaissons mieux que quiconque l'organisation hérético-criminelle du Lion de Judas et leurs vices grâce à l'exemplaire travail de chacun de nos membres mais non, la Curie à menée ces négociations sans la présence du plus haut représentant des Saintes Armées présent ou d'un de ses délégués.
Que l'on ne tienne donc pas responsable d'un éventuel échec ces hommes et femmes exemplaires dans la Foy et le combat des hérétiques.
J'aimerais remercier le Connétable de France LeKaiser et ses armées pour leur présence et leur comportement sans faille.
Le Haut Connétable Impérial pour son écoute, même si nos avis ont parfois étés divergeant.
Enfin, je voudrais m'adresser à tous les membres de la Congrégation des Saintes Armées ; Ordre de Santiago, Ordre des Chevaliers Francs, Ordre Teutonique, mais aussi Templiers, qui pour moi font partis intégrante de cette Congrégation.
J'aimerais vous dire combien j'ai été fier de tant partager avec vous. Votre courage et votre Foy sans faille devrait être louée pour des milliers d'années. Nul doute que le Très Haut vous réservera une place à ses côtés pour poursuivre la lutte un jour ou l'autre. Ce fut un honneur de vivre parmi vous tant d'années, de combattre à vos côtés et d'être votre représentant.
Merci de la confiance que vous m'avez portée.
Soyez fiers, le Très Haut reconnaitra les siens.
Fait à Rome au Conseil d'Isenduil le deuxième jour du mois de janvier de l'an de grâce MCLDVIII.

En somme, qui a le plus souffert de la Croisade, la crédibilité de la Franche Comté? L'orthodoxie de Genève? Ou l'honnêteté de Rome?


A. Pour l'AAP

Sources à Rome :
Déclaration du XXXIeme Franc-Comte
Genève, nid des sicairs
et autres http://rome.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=18311
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MessageSujet: Re: Vendredi 15 janvier 1458   Vendredi 15 janvier 1458 Icon_minitimeDim 24 Jan 2010 - 15:51

Citation :
AIX (AAP) - Un précédent article publié à l'AAP indiquait l'existence de doutes sur la destination des armées françaises conduites par le grand amiral de France et duc de Mortain, Alcalnn entre la Provence et le Béarn.
Ce jour, le doute n'est plus permis, lesdites armées ayant pénétré ce 14 janvier 1458 sur les terres provençales. Ceci sans explication ni annonce préalable aucune.
Devant le viol de ses frontières par ces troupes armées, le Comté de Provence n'est pas sans réagir. La Comtesse Illustre, Ledzeppelin, a aussitôt écrit à sa Majesté LevanIII, Roy de France, lui demandant d'ordonner à ses armées de se retirer.

Voici cette lettre, dont vous pourrez d'ailleurs trouver copie en de multiples endroits. Rome, et ambassades royales notamment pour ne citer qu'eux.

Citation :
A sa très Aristotélicienne Majesté Levan III de Normandie, Roy de France.
De: LedZeppelin, Vième Comtesse Illustre de Provence Libre.

En ce jour du 14 janvier 1458, par la présente, j'affirme ma condamnation sans appel de l'invasion des armées de votre pays en Provence, ceci sans aucune déclaration de guerre.

Cet état de fait intolérable est d'autant plus condamnable qu'une partie de nos soldats se battent à l'appel de l'Eglise et de la France sur vos terres de Béarn où sévit le Lion de Juda.
Profiter d'une telle situation relève de l'infâmie!

La Provence, terre Aristotélicienne et pacifique, fera connaître cet état de fait le plus largement possible, et en appellera également à la Sainte Eglise pour ramener la Paix.

La Provence, terre Fière et Indépendante, plierait peut-être, saignerait sûrement, mais ne sera jamais Terre Française, pas plus qu'elle n'est aujourd'hui Terre Impériale.

En conséquence, j'attends que Sa Majesté fasse sur l'heure cesser toute manoeuvre d'invasion, et appelle ses Troupes à revenir sans délai en vostre pays.

Mes respects!

LedZeppelin
Vième Comtesse de Provence Libre
Comtesse de Saint-Rémy de Provence
Dame de Mondragon

Reste à voir ce que répondra le Roy, et l'AAP vous tiendra au courant de la suite des évènements.
Doch, pour l'AAP

Sources :
- Ambassades Royales : http://forum2.lesroyaumes.com/viewtopic.php?p=8326273&sid=92kUr4KuEHCuI9vXXCwFLRlk7#8326273
- Rome : http://rome.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=18644
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